Pour la KARAMA ( La DIGNITÉ ), on marche pacifiquement le 20 mars 2011
Triste histoire que celle de ces gens (en vidéo) oubliés par le Palais et par celles et ceux qui continuent dans l’indignité totale à embrasser la main d'un roi qui se croit encore au-dessus de l’Histoire… Cela m’indigne ! N. Bourougaa
Pour la KARAMA ( La DIGNITÉ ), on marche pacifiquement le 20 mars 2011
Triste histoire que celle de ces gens (en vidéo) oubliés par le Palais et par celles et ceux qui continuent dans l’indignité totale à embrasser la main d'un roi qui se croit encore au-dessus de l’Histoire… Cela m’indigne ! N. Bourougaa
Tanger : marche du 6 février 2011
Marche du 20 février 2011
Appel à une marche pour le 20 mars 2011
Réponses du roi ...
Vive le roi et vive le Sahara marocain !
Vive le pays et vive la monarchie ! Avec, en prime, une contre manifestation numérique le 20 mars...
ET
Maroc : Mohammed VI lâche du lest
Le roi Mohammed VI du Maroc a annoncé mercredi 9 mars d'importantes réformes démocratiques allant notamment vers un renforcement du Premier ministre et l'"élargissement des libertés individuelles", dans son premier discours à la nation depuis les manifestations du 20 février.
"Nous avons décidé d'entreprendre une réforme constitutionnelle globale", a déclaré le souverain, soulignant son "engagement ferme de donner une forte impulsion à la dynamique réformatrice profonde (...) en cours".
"On est presque surpris. Sa Majesté a été très fort, il a répondu positivement aux demandes des partis et de la jeunesse", a déclaré à l'AFP Abdelilah Benkirane, le secrétaire général du parti islamiste justice et développemnt (PJD, opposition parlementaire).
"Le PJD est satisfait. Cette évolution ressemble plus à une révolution et les parties concernées sont appelées à travailler sérieusement pour concrétiser le contenu de ce discours", a-t-il ajouté.
Cette réforme constitutionnelle annoncée par le roi sera soumise à "un référendum populaire" dont la date n'a pas été fixée
Dans son discours, Mohammed VI a énuméré sept fondements de ses réformes démocratiques, dont la reconnaissance constitutionnelle pour la première fois de la composante berbère "amazigh", le "renforcement du statut du Premier ministre, et "la volonté d'ériger la justice en pouvoir indépendant".
L'article 65 de l'actuelle constitution marocaine précise que le Premier ministre, nommé par le roi, "assume la responsabilité de la coordination des activités ministérielles".
Le Premier ministre sera nommé, selon la prochaine constitution, au sein du "parti politique arrivé en tête des élections" de la première Chambre du parlement marocain" et non plus désigné par le souverain, précise le discours royal.
"En tant que chef d'un pouvoir exécutif effectif", le Premier ministre sera "pleinement responsable du gouvernement, de l'administration publique (...) et de la mise en oeuvre du programme gouvernemental", selon le souverain.
"C'est une rupture avec un passé pointé du doigt par tout le monde. Il répond aux demandes de bon nombre de Marocains qui n'ont jamais cessé de revendiquer des réformes instutionnelles et politiques", a souligné pour sa part le politologue Mohamed Darif.
"Ce discours rompt avec la monarchie exécutive. Il n'instaure pas une monarchie parlementaire, mais il prévoit une monarchie équilibrée avec un partage du pouvoir entre le roi et un gouvernement issu du parlement", a-t-il ajouté.
"La consolidation de l'Etat de droit (...), l'élargissement du champ des libertés individuelles et collectives (...) ainsi que le renforcement du système des droits de l'homme dans toutes leurs dimensions" figureront dans la prochaine réforme constitutionnelle, a précisé le roi du Maroc.
Ce dernier a en outre "décidé d'inscrire", dans le cadre d'une "réforme constitutionnelle globale", le processus de régionalisation dans le royaume, "avec en tête les provinces du Sahara marocain" (ndlr: Sahara occidental).
Le roi a également annoncé la prochaine formation d'une commission ad hoc pour la "révision de la constitution", dont la présidence sera confiée au constitutionnaliste marocain Abdeltif Menouni.
Ce dernier présentera au roi, d'ici juin, les propositions de réforme de la constitution, a précisé le souverain.
Depuis la promulgation de la première constitution marocaine en 1962, celle-ci a été plusieurs fois révisée, la dernière en date étant en 1996.
Ce discours à la nation est le premier après les manifestations du 20 février à l'appel de plusieurs jeunes, via Facebook, réclamant des "réformes politiques profondes".
Le régime de Kadhafi a-t-il recruté des mercenaires algériens pour combattre au sein de ses milices opposés aux révolutionnaires libyens ? Le gouvernement algérien a-t-il prêté assistance à Kadhafi en mettant à sa disposition des avions ? Kadhafi a-t-il recruté des pilotes et des mercenaires algériens pour mater les insurgés? Devant la multiplications des accusations, Alger continue de démentir.
Depuis le début de l’insurrection en Libye, diverses sources libyennes et étrangères ainsi que des journaux soutiennent que Kadhafi a obtenu le concours de l’Algérie pour mater la rébellion.
Pilotes de chasse, mercenaires et soutien logistique à travers des avions miliaires, ce concours présumé des Algériens se présente sous diverses formes.
Pour sa part, le gouvernement algérien a démenti par deux ces informations. D’abord par le biais du ministère des Affaires étrangères ainsi par la voix de Halim Benatallah, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l’étranger.
Les accusations
Vendredi 25 février. El Husseini, deuxième secrétaire de l’ambassade de Libye à Pékin, qui a rejoint les rangs de l’opposition contre le régime de Kadhafi, accuse sur la chaîne Al Jazeera le président algérien d’avoir mis à la disposition du colonel Kadhafi des avions militaires algériens pour le transport des mercenaires vers la Libye.
Mercredi 2 mars. Dans une conférence de presse, Abdelhaffif Gouga, porte-parole du Conseil national libyen (CNL), accuse lui aussi ouvertement l’Algérie de porter assistance au régime de Kadhafi en envoyant des mercenaires combattre auprès des forces loyales restées fidèles au colonel pour mater l’insurrection libyenne.
Lire la suite ici : http://www.algerie360.com/algerie/des-mercenaires-algeriens-au-service-du-colonel-kadhafi-accusations-et-contre-accusations-2/