Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 04:44
Partager cet article
Repost0
6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 03:25
Partager cet article
Repost0
6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 03:17
Partager cet article
Repost0
6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 02:59
Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:38

22:16 BBC Dr Sunita Singh, who teaches at the University of Sirte, tells the BBC’s Newshour programme gunfire has been heard for the first time in daytime.” Dr Singh says every student has been given a gun to protect themselves against any sort of invasion. Dr Singh’s description goes on: “In the past week, every boy has been given a gun for self-protection. My students told me they couldn’t come to class, they said, ‘We have night duty, we can’t come.’ They are protecting the city and many of them have been armed. Maybe they can sense that they are losing ground so they are trying to do their best to protect themselves. They know the battle has reached them and they have to fight it.”

 

Lien : http://www.libyafeb17.com/2011/03/breaking-gaddafis-forces-close-in-on-az-zawiya/

 

lybie-syrte-05-3-2011-copie-1.jpg

Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 21:29
Des Africains pourchassés en Libye comme des mercenaires de Kadhafi

Ils sont terrorisés. Certains se sont barricadés chez eux, d'autres se sont cachés dans le désert. Insultés, menacés, frappés, chassés, volés, les Africains de Libye assimilés aux "mercenaires" de Kadhafi abandonnent tout pour sauver leur peau.

Cissé Ousmane, Ivoirien de 31 ans, regardait la télévision chez lui, à Zouara (ouest de la Libye), quand "les Libyens" sont arrivés. "Ils ont frappé à la porte, boum, boum, plusieurs fois, il était 2H00 du matin. Ils voulaient rentrer de force. Ils disaient +sortez, on va vous tuer, vous êtes des blacks, des étrangers, dégagez+".

C'est la porte blindée et les barreaux aux fenêtres qui l'ont sauvé, lui et sa famille. Des maisons de Nigériens ont déjà brûlé, dit-il, et ce soir-là il en est persuadé "un black qui sort, il va mourir".

Deux heures plus tard, ils fuyaient en pleine nuit pour venir s'échouer à Ras Jedir à la frontière entre la Libye et la Tunisie.

Les témoignages des Africains de Libye arrivés à Ras Jedir ces derniers jours se suivent et se ressemblent. Ils viennent du Mali, du Soudan, du Tchad ou du Ghana, étaient venus en Libye pour trouver un emploi bien payé, aider leurs parents restés au pays ou s'installer et fonder une famille.

"Je gagnais environ deux fois plus qu'au Soudan", explique Moussa, un ouvrier soudanais de 33 ans, qui a fui avec ses quatre enfants. "Invités" à venir en Libye pendant des années par le panafricain Mouammar Kadhafi, ces émigrés étaient régulièrement victimes d'actes de racisme.

Mais leur vie a définitivement basculé avec la révolution libyenne: la répression la plus féroce a été menée par les "mercenaires africains" du leader libyen, selon de nombreux témoins qui ont décrit "des hommes noirs tirant sur les foules sans prévenir".

Dans les villes "libérées", la chasse aux Africains a commencé, des insultes aux coups en passant par le racket voire le viol, disent les Africains interrogés.

"Les Libyens nous accusent d'être des miliciens de Kadhafi, des mercenaires africains", explique Mohamed Ali, ingénieur soudanais de 40 ans, arrivé de Zawiyah. "Nous ne sommes que de simples manoeuvres!", s'indigne Saïd Moussa, Malien de 42 ans, employé d'une société chinoise à Tiji (ouest). Il raconte que quand les Chinois sont partis, la population du village leur est "tombé dessus". "Ils nous ont agressés, ils nous ont tout pris".

A Zouara, "les civils voulaient nous tuer, ils ont battu plusieurs d'entre nous. Pour moi, ce sont des animaux", lâche Abdel Ahmed, ouvrier ghanéen de 25 ans. "Ils nous ont chassé de chez nous, nous ont tout volé, ont causé des problèmes aux femmes", dit un autre sous couvert de l'anonymat. Un commerçant soudanais de 20 ans, arrivé de la même ville, explique qu'il a eu tellement peur qu'il est allé se cacher deux jours dans le désert.

Chacun a une histoire à raconter mais ils restent terrorisés. Au poste-frontière, ils ne se mêlent pas aux autres.Et quand on les interroge sur ce qu'ils ont vécu, souvent la conversation est interrompue: "Ne raconte pas ce qu'il se passe là-bas, dis qu'il n'y a pas de problèmes", leur lancent des compatriotes par crainte de représailles.

L'arrivée à Ras Jedir est rude. Des milliers d'Egyptiens, Bangladeshis ou Africains s'entassent à même le sol, dans des abris de fortune, des tentes ou des hangars dans l'attente d'être rapatriés. L'incertitude du retour dure des jours.

Pour tout refaire après des années en Libye, ils n'ont pratiquement rien. Saïd Moussa montre une petite valise: "C'est tout ce qu'il me reste après deux ans en Libye. Tout ce qu'on demande à Dieu, c'est de rentrer au pays".

Cissé Ousmane compte s'installer avec sa femme tunisienne à Tunis. Il a réussi à emporter un frigo, une machine à laver "pour les vendre". Après quatre ans en Libye, "il faut tout recommencer à zéro, on ne sait pas ce qu'il va se passer on n'a pas de maison, rien".

 

Publié par : http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/04/1027650-Des-Africains-pourchasses-en-Libye-comme-des-mercenaires-de-Kadhafi.html

Au nom de votre Révolution de KARAMA, arrêtez de prendre les Africains innocents pour cibles ! Ne faites comme Kadhafi qui détourne le mal social et les tragédies de notre continent en son profit !

Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 19:34

Dans l'ouest de la Libye, les forces fidèles à Kadhafi ont lancé dans la journée deux offensives meurtrières pour reprendre le contrôle de Zaouïa, localité située à 50 km à l'ouest de Tripoli. Dans l'après-midi, une trentaine de chars sont entrés dans la ville et des habitations ont été prises pour cible. D'après plusieurs sources, les troupes fidèles au régime n'ont pas réussi à déloger les insurgés regroupés sur et à proximité d'une place centrale de la ville. Le Guardian évoque 70 tués à Zaouïa au cours de la journée. La ville est désormais encerclée, et les communications avec l'extérieur coupées. Les insurgés craignent une attaque au cours de la nuit.

 

Sur le front oriental, au terme d'une journée de combats, les insurgés ont affirmé avoir pris la ville de Ras Lanouf, terminal pétrolier qui se trouve à 660 km à l'est de la capitale Tripoli, à mi-chemin entre les villes de Syrte et de Benghazi. La localité de Ben Jawad serait également tombée aux mains des rebelles, qui disent progresser vers l'ouest et se fixent comme objectif la prise Syrte, ville natale du colonel Kadhafi.

Des informations pour le moment très parcellaire évoquent un mouvement de combattants qui se dirigeraient vers Syrte depuis Bani Walid, plus à l'ouest.

 

Sur ce front oriental, les rebelles ont abattu un avion de chasse de l'armée régulière. Les deux pilotes seraient morts, selon cette information du Nouvel Observateur.

 

Sur le plan humanitaire, l'ONU a indiqué aujourd'hui que 191 000 personnes avaient fui le pays depuis le début de la révolte, le 15 février. Mais le flux se tarit, la frontière avec la Tunisie étant désormais sous le contrôle des forces fidèles au colonel Kadhafi.

 

Le Conseil national libyen, qui fait office de gouvernement des insurgés dans l'Est, a nommé samedi un comité de crise de trois membresOmar Hariri, un des officiers qui avait participé au coup d'Etat de Mouammar Kadhafi en 1969 avant d'être emprisonné, a été nommé chef des affaires militaires. Ali Essaoui, ancien ambassadeur en Inde qui a démissionné le mois dernier, a été chargé des affaires étrangères. Mahmoud Djebril, qui a participé avec un groupe d'intellectuels au projet d'établissement d'un Etat démocratique, a été nommé chef de ce comité de crise, qui vise à améliorer le processus de décision.

 

Suivre la suite ici : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/03/05/violents-combats-pour-zaouia-les-rebelles-disent-progresser-vers-tripoli_1488715_3212.html

 

 

Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 19:17

Prévision des réserves pétrolières en Lybie : 44 milliards de barils de pétrole et 54 trillions pieds carrés (1 trillion = 1000 milliards). Le bassin de Syrte compte à lui-seul 80% de ces réserves.

Production par jour _  En 2000 : 1,4 milliard de barils.  En 2010 : 1,6 milliards de barils

Revenu de la production pétrolière en 2010 s’élèvent à 32 milliards de $, soit 80% du total des revenus de la Lybie.

Moyens d’exportation : 32 % des exportations du pétrole se font par le Green Stream reliant la Lybie à l’Italie.

Parts des exportations : 33% des exportations sont partagées entre l’Allemagne, la France et l’Espagne. Les États-Unis n’importent que 5% du pétrole libyen.

Revenu de pétrole : 32 milliards de $ en 2011, soit 80% des revenus de la Lybie.


 

 

File 12006

 

 

Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 18:42
Partager cet article
Repost0
5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 18:32

Selon la chaîne Al Arabiya, plusieurs milliers de personnes font route vers Syrte depuis Bani Walid, plus à l'ouest, pour prendre la ville. L'information est reprise sur Twitter mais n'est pas confirmée.

 

 Sur cette carte, Bani Walid et Syrte : http://www.guardian.co.uk/world/interactive/2011/feb/27/libya-tripoli-unrest-gaddafi-map

Lien : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/03/05/violents-combats-pour-zaouia-les-rebelles-disent-progresser-vers-tripoli_1488715_3212.html

 

lybie-syrte-05-3-2011.jpg

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : thala solidaire.over-blog.com
  • : ThalaSolidaire est dédié à la ville de Thala, ville phare de la Révolution tunisienne. Thala est une petite agglomération du centre-ouest de la Tunisie. Elle est connue pour son histoire antique, ses sources, ses carrières de marbre, devenues une sorte de tragédie écologique et économique, sa résistance et sa misère. Thala solidaire a pour objectif de rassembler toutes les voix INDIGNÉES pour donner à cette terre ainsi qu'à toutes autres terres un droit à la vie et à la dignité…
  • Contact

Recherche

Vidéos

Catégories