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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 06:28
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9 janvier 2011 7 09 /01 /janvier /2011 07:25

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9 janvier 2011 7 09 /01 /janvier /2011 03:07

 

Marouan Jamli, 20 ans, tué par la police tunisienne, 8 janvier 2011

Ahmed  Ben Ammar Boulaabi tué de la même façon 8 janvier 2011

 

 

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 08:31

Mohamed Bouazizi, le jeune commerçant qui s'était immolé par le feu le 17 décembre dernier en Tunisie, est décédé des suites de ses blessures le mardi 4 janvier 2011. Son acte avait lancé le grand mouvement social qui secoue le pays depuis plus de deux semaines et dont il était devenu un symbole.

Mohamed Bouazizi n'est plus. Son décès, survenu ce mardi 4 janvier, a été confirmé à la fois par sa famille, par les associations de défense des droits de l'Homme et par le ministère tunisien de la Santé.

Le 17 décembre dernier, ce marchand de 26 ans s'était immolé par le feu devant un bâtiment officiel de Sidi Bouzid (dans le centre de la Tunisie) car la police lui avait confisqué son chariot de primeurs.

Le symbole d'un mouvement

Alors qu'il était soigné à l'hôpital des grands brûlés de Ben Arous, des manifestations de solidarités étaient organisées à Sousse, Sfax ou encore Tunis, menant à un mouvement social d'une ampleur inédite dans un pays dirigé depuis 23 ans par le président Zine el-Abidine Ben Ali.

Mohamed Bouazizi était devenu le symbole d'un mouvement qui a obtenu du président qu'il débloque 6,5 milliards de dinars pour l'emploi des diplômés mais qui a également fait deux morts lors d'affrontements entre manifestants et forces de l'ordre dans la ville de Bouziane.

 

Encore des manifestations

« Il faut une enquête ou une commission nationale pour déterminer les causes et les solutions à cette protestation sociale qui a pris des formes tragiques », a déclaré à l'AFP Souhayr Belhassen, présidente de la Fédération internationale des ligues de droits de l'homme (FIDH), après avoir appris la mort du jeune homme.

Ce mardi 4 janvier encore, la police tunisienne dispersait une manifestation de plusieurs centaines d'étudiants au gaz lacrymogène à Thala, dans l'ouest du pays.

 

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 06:12

Reporters sans frontières dénonce les arrestations et disparitions de blogueurs et de militants connus pour leur engagement pour la liberté d'expression en ligne, survenues le 6 janvier 2011 dans différentes villes tunisiennes.

 

L'organisation a répertorié au moins quatre cas mais la liste pourrait être plus longue. Selon plusieurs sources contactées par Reporters sans frontières, ces blogueurs auraient été interpellés par la police afin d'être interrogés sur les actes de piratage de sites gouvernementaux par le groupe de hackers militants Anonymous.

 

L'organisation demande aux autorités de les libérer dans les meilleurs délais. "Ces arrestations, destinées à intimider les internautes tunisiens et leurs soutiens internationaux, sont contreproductives et risquent d'attiser les tensions. Ce n'est pas en arrêtant quelques blogueurs que les images des manifestations disparaîtront de la Toile ou que les cyberattaques cesseront", a constaté Reporters sans frontières. Durcir la répression n'est pas la solution à la crise que traverse la Tunisie aujourd'hui.

Le rappeur tunisien El Général - de son vrai nom Hamada Ben Aoun - aurait également été arrêté à Sfax (270 km au sud-est de Tunis). Dans son morceau "Président, ton peuple est mort", il interpelle le président Ben Ali sur la corruption et le chômage. Populaire auprès des jeunes Tunisiens, la vidéo a largement circulé sur la Toile (voir la vidéo).

Ces arrestations se déroulent alors que les autorités tentent, en renforçant la censure sur le web, d'étouffer les mouvements de contestation sociale et politique qui agitent le pays et de maîtriser les cyberattaques dirigées contre des sites gouvernementaux. Les réseaux sociaux ont assuré une couverture sans précédent des événements, alors que les médias traditionnels, sous la coupe du régime pour la plupart d'entre eux, les ont passé sous silence. Voir le communiqué précédent.

 

Le régime durcit également la censure des articles en ligne des médias internationaux sur les troubles actuels. Par ailleurs, Isabelle Mandraud, journaliste du service international du quotidien Le Monde, spécialiste du Maghreb, s'est vue refuser l'entrée sur le territoire tunisien le 6 janvier 2011. Le quotidien est interdit de distribution en Tunisie depuis l'expulsion de son envoyée spéciale Florence Beaugé en octobre 2009.

 

lien:http://fr.allafrica.com/stories/201101070028.html

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 05:59

D’après  des sources syndicales, le bilan des dernières journées de contestation à Thala (gouvernorat de Kasserine) serait très lourd en nombre de personnes arrêtées.

 

De son coté,  l’Observatoire tunisien des Droits et Libertés Syndicaux a publié une première liste de 13 noms de personne dont l’arrestation a pu être vérifiée.

  1. Aymen Ben Mohammed Salah Saïhi
  2. Kais Hajji
  3. Ridha Houssine Rtibi
  4. Ayachi Ben Hédi Saïhi
  5. Oualid Boulaabi
  6. Ala Raouf Boulaabi
  7. Sami Nasraoui
  8. Nidhal Ben Jamel Gafsi
  9. Choukri Ben Ahmed Ktari
  10. Bilel Ben Amor Saïhi
  11. Faouzi ben Amor Maghraoui
  12. Thabet Ben Amor Mnasri
  13. Mouti Hichri
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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 05:43

Ceci est une pétition visant à faire libérer le rappeur tunisien El Général Lebled, emprisonné injustement par le régime du président tunisien Ben Ali.

 

Il a été incarcéré pour avoir écrit des textes dénonçant la corruption et le manque de démocratie dans ce pays. Signez en grand nombre!

 

Ceci est important. De nombreux prisonniers politiques se sont déjà fait torturer dans les prisons tunisiennes.

 

Des agressions physiques ainsi que sexuelles sont utilisées pour faire parler les prisonniers.

 

Signez! C'est très souvent une question de survie!

 

Pour signer la pétition, allez simplement sur le lien donné au bas de la page. Une fois arrivé sur la page, cliquez sur «Signer la pétition».

 

Vous devrez alors remplir un formulaire demandant certaines informations comme votre nom, votre prénom, votre adresse de courriel (email), votre lieu de résidence, votre ville ainsi que votre pays.

 

Une fois le formulaire rempli, un message sera envoyé sur votre compte de courriel (email). Allez ouvrir ce message et cliquez sur le deuxième lien donné pour confirmer votre signature.

 

Tout ceci est évidemment gratuit .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

lien pour signer la pétition: http://www.lapetition.be/en-ligne/Liberez-le-rappeur-tunisien-El-General-Lebled-9081.html

 

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 01:47

Plusieurs cyber-dissidents ont été arrêtés et leurs ordinateurs ont été confisqués. Le Parti Pirate se dit également "sans nouvelles" d'un de ses membres franco-tunisien. La présidente de la FIDH craint qu'ils "soient désormais torturés".

 

Face à l'agitation sociale à Sidi Bouzid et son onde de choc en ligne, le gouvernement tunisien a choisi de durcir la répression. Des blogueurs, des cyber-dissidents et des rappeurs ont été arrêtés et leur ordinateur ont été saisi, jeudi 6 et vendredi 7 janvier, dans différentes villes de Tunisie.

 

Reporters Sans Frontières dresse ainsi une liste --"qui pourrait être plus longue"-- de cyberdissidents arrêtés : Hamadi Kaloutcha, Hamada Ben Aoun, Slim Amamou, Azyz Amamy et Slah Eddin Kchouk.

"Beaucoup plus de personnes auraient été arrêtés, mais nous n'avons pas de chiffre exact", affirme la présidente de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), Souhayr Belhassen. "Ils essayent de remonter les filières d'internautes qui alimentent les sites interdits et la contestation en ligne."

Même constat chez RSF : "de nombreux blogueurs sont également injoignables et ce n'est pas forcément bon signe". "Ces arrestations seraient liées au mouvement des Anonymous [qui lancent des attaques informatiques contre les sites web officiels tunisiens, NDLR]", explique Lucie Morillon, responsable du dossier chez RSF. "Le gouvernement tenterait d'identifier les responsables des cyberattaques et de remonter aux responsables, tout en étouffant l'élan des journalistes-citoyens qui s'est manifesté sur les réseaux sociaux" après les événements de Sidi Bouzid.

 

Sans nouvelles d'un franco-tunisien

 

Le blogueur et militant Hamadi Kaloutcha a été arrêté à son domicile de Tunis jeudi "aux alentours de 6 heures du matin par quatre ou cinq policiers en civil", rapporte RSF. Les policiers ont affirmé à son épouse qu'ils n'avaient que "quelques questions à lui poser" et que "cela ne prendrait que quelques heures", raconte Lucie Morillon. Son ordinateur et son unité centrale ont été saisis.

Les cybermilitants et membres du Parti Pirate tunisien Slim Amamou, Azyz Amamy et Slah Eddine Kchouk ont également été arrêtés, à Tunis pour les deux premiers et à Bizerte (60 km au nord-ouest de Tunis) pour le troisième. Leurs ordinateurs ont également confisqué.

Slim Amamou serait actuellement interrogé au ministère de l'Intérieur, selon ses proches qui ont pu le géolocaliser via son téléphone. Selon des informations de RSF, les blogueurs pourraient être regroupés au ministère de l'Intérieur par la police politique. La présidente de la FIDH craint que les jeunes hommes "soient désormais torturés".

Le président du Parti Pirate français, Paul Da Silva, affirme être "sans nouvelles de Slim [Amadou] depuis hier [jeudi] vers 13h30". Inquiet, il évoque également "la disparition" d'un franco-tunisien, membre du Parti Pirate français, sur place pour aider les militants tunisiens.

 

Dans un message posté sur Facebook, le Parti Pirate tunisien appelle "la communauté internationale à faire pression sur le gouvernement tunisien à libérer nos membres". Dans un communiqué commun, les Partis Pirate de 21 pays demandent "avec force que les gouvernements européens agissent fermement vis-à-vis de la Tunisie".

 

Après les blogueurs, des rappeurs tunisiens arrêtés

 

Par ailleurs, la vague d'arrestations concernerait aussi des rappeurs tunisiens, dont les morceaux et clips vidéo s'échangent via Internet.

Le rappeur tunisien Hamada Ben Aoun, dit "El Général", a lui été arrêté à Sfax (270 km au sud-est de Tunis). Dans son morceau "Président, ton peuple est mort", le chanteur interpelle le président Ben Ali sur la corruption et le chômage.

Selon RSF, cinq autres rappeurs auraient été arrêtés. "Les rappeurs BMG, MC Bilel, DJ Costa, Psyco-M et L'Imbattable auraient pu être arrêtés, mais cela reste encore à confirmer", avance Lucie Morillon. "Ces rappeurs sont très populaires auprès des jeunes tunisiens, en particulier de par leurs vidéos diffusées sur Internet et qui dérange le pouvoir", poursuit-elle.

 

Le Quai d'Orsay "suit de très près la situation en Tunisie"

 

"Ces arrestations se déroulent alors que les autorités tentent, en renforçant la censure sur le web, d'étouffer les mouvements de contestation sociale et politique qui agitent le pays et de maîtriser les cyberattaques dirigées contre des sites gouvernementaux", résume RSF.

De son côté, la France dit suivre de près la situation en Tunisie, a déclaré la porte-parole adjointe du ministère français des Affaires étrangères, Christine Fages.  "Nous continuons de suivre de très près la situation en Tunisie et souhaitons que les tensions, qui ne sont dans l'intérêt de personne, s'apaisent. Il n'appartient pas à la France, pas plus qu'à un autre État, de conseiller les autorités tunisiennes dans le domaine économique et social", a-t-elle ajouté.

La ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, doit rencontrer ce vendredi à 18h son homologue tunisien, Kamel Morjane.

Une rencontre dont n'attend pas grand chose la présidente de la FIDH. "Les autorités sont autistes à nos appels, y compris dans l'opposition", lance-t-elle. Souhayr Belhassen y voit "un soutien clair au régime de Ben Ali" : "on ferme les yeux sur [Zine el-Abidine] Ben Ali, sur [Hosni] Moubarak, mais on critique [Laurent] Gbagbo. Quelle est la différence ?", interroge-t-elle. En Tunisie, "il y a un mouvement populaire évident, mais il n'y a pas de pétrole, pas de nucléaire... donc on laisse Ben Ali tranquille et on laisse tomber les jeunes Tunisiens", tranche la présidente de la FIDH, d'origine tunisienne.

 

lien:http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110107.OBS5863/des-blogueurs-et-des-rappeurs-tunisiens-arretes-apres-les-troubles-de-sidi-bouzid.html

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 20:36

Selon Rfi, plusieurs blogueurs ont été arrêtés en Tunisie. Pour ce 7 janvier 2011, il semble que ces prisonniers soient retenus dans les locaux du minstère de l'Intérieur... Continuons les débats sociaux pour une Tunisie plus solidaire, plus juste et plus belle...

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 22:09
Entre manifestations de rue, grève des avocats, tentatives de suicide et arrestations d'internautes, l'agitation sociale partie de Sidi Bouzid (centre-ouest) il y a trois semaines s'est poursuivie jeudi en Tunisie, malgré des mesures d'apaisement du gouvernement

A Sidi Bouzid (265 km au sud de Tunis), la plupart des lycées et collèges étaient en grève dans cette ville endeuillée au lendemain de l'enterrement de Mohamed Bouaziz, a indiqué à l'AFP Ali Zari, responsable syndical local.
Mohamed Bouazizi, 26 ans, s'était immolé le 17 décembre pour protester contre la saisie de son étal de primeurs par des agents municipaux. Il est devenu depuis le symbole d'une révolte contre la précarité sociale et le chômage, notamment celui des jeunes diplômés.

Le mouvement qui s'est étendu depuis à d'autres régions enclavées du centre et du sud ouest, a gagné jeudi des localités du littoral-est plus nanti.

À Jbeniana, près de Sfax (300 km au sud-est de Tunis), la police a dispersé une manifestation de lycéens et d'autres plus violentes à Tala (ouest) où des arrestations musclées avaient été signalées dès mercredi soir.
Un nouveau suicide, le 3e depuis le début des troubles, a eu lieu à Chebba, sur le littoral-est, où Mohamed Slimane, 52 ans, un ouvrier du bâtiment, père de deux diplômés de l'université sans emploi, a été retrouvé pendu.

L'homme était malade et aurait désespéré de recevoir une aide pour se soigner et nourrir sa famille.
A Regueb, près de Sfax, un jeune a menacé de se donner la mort par électrocution pour dénoncer la corruption et l'inégalité face à l'emploi et un autre s'est immolé à Metlaoui, un zone minière ayant connu des troubles en 2008.

Des milliers d'avocats ont observé une grève pour dénoncer la répression le 31 décembre d'une manifestation de solidarité avec les habitants de Sidi Bouzid, selon le bâtonnier Abderrazak Kilani.
Le barreau avait dénoncé ''un usage sans précédent'' de la force et affirmé le devoir de ''défendre la liberté d'expression'' et ''le droit des habitants de Sidi Bouzid et d'autres régions démunies à l'emploi, à la dignité''.

La grève a été cependant été dénoncée comme un acte ''politique'' contre le régime par des avocats du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD, parti au pouvoir du président Zine El Abidine Ben Ali).
Par ailleurs, un rappeur et deux blogueurs ont été arrêtés jeudi, au lendemain de cyber-attaques de groupes d'internautes solidaires du mouvement de protestation sociale. Celle d'un troisième n'a pu être confirmée.

Ces attaques répondaient à un mot d'ordre lancé par les ''Anonymes'' (Anonymous) qui se présentent comme un groupe d'internautes attachés à la liberté d'expression.
Selon son frère, Hamada Ben Amor dit ''Le Général'' arrêté à Sfax, est l'auteur d'un rap intitulé ''Président, ton peuple est mort'' diffusé sur internet, devenu un espace d'expression pour des milliers de jeunes tunisiens notamment sur Facebook et Twitter.

Slim Amamou et El Aziz Amami, cybernautes très actifs contre la censure ont été également arrêtés jeudi, selon le journaliste opposant Sofiene Chourabi.
A Paris, 200 personnes se sont rassemblées dans le cadre d'une journée internationale de solidarité avec la révolte sociale en Tunisie, et d'autres devant le consulat de Tunisie à Lyon (centre-est).

La France suit de près la situation en Tunisie, a dit la porte-parole adjointe du ministère français des Affaires étrangères, Christine Fages.
''Nous continuons de suivre de très près la situation en Tunisie et souhaitons que les tensions, qui ne sont dans l'intérêt de personne, s'apaisent. Il n'appartient pas à la France, pas plus qu'à un autre État, de conseiller les autorités tunisiennes dans le domaine économique et social'', a-t-elle ajouté.

Le président Ben Ali avait accusé l'opposition d'instrumentaliser la révolte à des fins ''malsaines'', avant de retoucher son gouvernement et de débloquer 116 millions d'euros pour des emplois à Sidi Bouzid.

 
Par Hamida BEN SALAH© 2011 AFP
références:http://www.lanouvellerepublique.fr/france-monde/ACTUALITE/Economie/Social/L-agitation-continue-en-Tunisie-greves-et-arrestations-de-cybernautes
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